Elle aura mis du temps à comprendre comme le roi de la comm faisait campagne ; exactement comme s’il n’avait pas été aux affaires depuis dix ans, quitte d’ailleurs à se contredire et à annoncer des réformes et des propositions contraires qu’il n’a jamais mis en oeuvre durant son quinquennat, voir auxquelles il n’a jamais songé, avant de se rendre compte qu’il stagnait dans les sondages.
C’est tout le NanoPrésident ; deux jours avant de proposer de renégocier le traité de Schengen, il avait en effet moqué le candidat de la gauche de gouvernement qui lui, proposait de revenir sur le MES, montrant alors, in fine, que la proposition d’Hollande n’était pas si idiote que cela. Mais, il y a eu un dommage collatéral avec la proposition du NanoCandidat Sarkozy : Merkel.
Revoir les frontières, en prenant pour exemple le seul pays d’Europe qui l’a tenté et... Qui est revenu dans les accords de Schengen. Ainsi, à ce jour, aucun pays n’en est sorti et pour cause ; vu que cela n’aurait aucun impact réel sur l’immigration clandestine, puisque les réseaux ne tiennent pas compte des lois et, pois chiche sur le couscous ; cela coûterait tellement d’argent de faire marche arrière que cette promesse ira rejoindre celles de la campagne NanoPrésidentielle de 2007 dans les oubliettes.
Ainsi, la dirigeante allemande et présidente du parti conservateur CDU a manifesté sa mauvaise humeur devant ses proches collaborateurs en apprenant que le NanoCandidat Sarkozy ne souhaitait plus sa présence lors d'un meeting, affirme l'hebdomadaire Der Spiegel samedi dans son édition en ligne.
Elle l'a fait savoir à l'intéressé quelques jours plus tard en marge du sommet de l'Union européenne à Bruxelles, selon la même source.
Mme Merkel avait apporté publiquement son soutien au candidat Nicolas Sarkozy à l'occasion d'un conseil des ministres franco-allemand début février à Paris. "Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis", avait-elle alors déclaré.
Elle commence seulement à comprendre ce que nous, français, vivons depuis cinq ans.